Notes

[1] A. Limousin, « L’histoire de l’immigration en France : une histoire impossible », Pouvoirs, 47, 1988, C. Topalov, Le Logement en France : histoire d’une marchandise impossible, Paris, PFNSP, 1987.
[2] M. Lescure, Les banques, l’État et le marché immobilier en France à l’époque contemporaine, 1820-1940, Paris, EHESS, 1982.
[3] Nous avons cherché à identifier les « différents acteurs collectifs en conflit autour de chacun des enjeux » et à étudier les « interactions entre les dispositifs et le champ des représentations et des conduites […] ». A.-M. Guillemard, Le déclin du social, Paris, PUF, 1986, pp. 25-26.
[4] M. Verret envisage cette place de l’ouvrier comme une « conquête » d’abord d’un espace minimal puis des normes d’occupation, de surface et de confort. M. Verret, L’Espace ouvrier, Paris, Armand Colin, 1979. Voir aussi S. Magri et C. Topalov, « Pratiques ouvrières et changements structurels dans l’espace des grandes villes du premier xxe siècle. Quelques hypothèses de recherche » in S. Magri et C. Topalov (dir.), Villes ouvrières, 1900-1950, Paris, L’Harmattan, 1989.
[5] P. Legendre montre bien l’impact de l’aventure coloniale, notamment algérienne, sur la structuration contemporaine de l’administration française, visant à unifier des entités territoriales et des populations différentes autour d’un centre commun. P. Legendre, Trésor historique de l’État en France, l’administration classique, Paris, Fayard, 1992.